Dommage que, dans la majorité des cas, ces informations qui remontent par le biais du téléphone, ne se perdent et n’arrivent que très rarement sur les bureaux des directeurs d’antenne. Ces derniers feraient bien de consacrer chaque jour quelques minutes à ce qui se dit au standard. Cette habitude aurait-elle, au moins, l’avantage qu’ils demeurent connectés avec celles et ceux qui les écoutent.